TUMEURS DES GLANDES SALIVAIRES
La parotide est la glande salivaire la plus fréquemment touchée par les tumeurs, mais heureusement 70% d’entre elles sont bénignes (non cancéreuses).
Les tumeurs de la glande sous-maxillaire sont beaucoup plus rares mais plus volontiers malignes (cancéreuses), dans 50% des cas environ.
Concernant les glandes salivaires accessoires, elles sont à l’opposé de la parotide le siège de pathologies tumorales malignes (cancéreuses) dans 70% des cas.
Les tumeurs des glandes salivaires apparaissent comme une boule dans la glande.
Il est important de savoir depuis combien de temps cette masse est présente et si elle s’associe à des signes cliniques comme des douleurs, une atteinte de la peau en regard ou une paralysie faciale.
Le bilan est toujours le même : tout d’abord une échographie spécialisée, ensuite une IRM et pour finir une cytoponction échoguidée.
La cytoponction échoguidée correspond au prélèvement de cellules tumorales par une aiguille fine sous contrôle échographique.
Plusieurs ponctions sont nécessaires dans la masse afin d’avoir un meilleur diagnostic cytologique. Les cellules sont alors étalées sur des lames et confiées à un médecin cytologiste spécialisé afin de poser un diagnostic.
En fonction de l’analyse, le traitement est initié. Il s’agit le plus souvent de l’ablation chirurgicale de la glande, mais dans certains cas de ganglions ou tumeurs bénignes une simple surveillance peut être de mise.
Les tumeurs les plus fréquentes sont les adénomes pléomorphes (dans près de 50 % des cas). Il s’agit de tumeurs bénignes, mais elles ont tendance à augmenter de volume, à récidiver et peuvent au bout de plusieurs années se cancériser. Une chirurgie d’exérèse est donc nécessaire. Il faudra alors réaliser une parotidectomie ou une submandibulectomie (ablation de la glande) afin d’en éviter les récidives.
Les autres tumeurs les plus fréquentes sont les tumeurs de Whartin, elles peuvent être bilatérales et présenter des manifestations inflammatoires douloureuses. Elles ont tendance à augmenter de volume, il faut donc envisager sans urgence un geste d’exérèse chirurgicale de la tumeur et de la partie attenante de la glande.
Les cancers des glandes salivaires sont des tuméfactions souvent douloureuses, atteignant la peau et entrainant une paralysie faciale (diminution de la motricité de la moitié du visage). Toutefois, ces signes peuvent être absents, c’est pourquoi la cytoponction échoguidée rapide est indispensable.
Leur traitement est chirurgical avec l’ablation de la glande et des ganglions du cou et peut être suivi d’un traitement complémentaire par radiothérapie ou chimiothérapie.
La prise en charge est réalisée par une équipe pluridisciplinaire généralement hospitalière.
Les ganglions sont une cause heureusement fréquente de tuméfaction parotidienne, en effet, dans la glande parotide des ganglions existent et mesurent moins de 1 cm.
Ces ganglions peuvent augmenter de volume (ils sont appelés alors adénopathies) dans le cas d’infections ORL par exemple mais aussi beaucoup plus rarement de maladies hématologiques ou de maladies auto-immunes.
Quoi qu’il en soit, en cas de découverte d’une masse dans une de ses glandes salivaires, il est indispensable de consulter un spécialiste au plus vite afin de réaliser le bilan d’imagerie et la cytoponction pour pouvoir en faire le diagnostic et proposer le traitement adapté.
Les tumeurs de la glande sous-maxillaire sont beaucoup plus rares mais plus volontiers malignes (cancéreuses), dans 50% des cas environ.
Concernant les glandes salivaires accessoires, elles sont à l’opposé de la parotide le siège de pathologies tumorales malignes (cancéreuses) dans 70% des cas.
Les tumeurs des glandes salivaires apparaissent comme une boule dans la glande.
Il est important de savoir depuis combien de temps cette masse est présente et si elle s’associe à des signes cliniques comme des douleurs, une atteinte de la peau en regard ou une paralysie faciale.
Le bilan est toujours le même : tout d’abord une échographie spécialisée, ensuite une IRM et pour finir une cytoponction échoguidée.
La cytoponction échoguidée correspond au prélèvement de cellules tumorales par une aiguille fine sous contrôle échographique.
Plusieurs ponctions sont nécessaires dans la masse afin d’avoir un meilleur diagnostic cytologique. Les cellules sont alors étalées sur des lames et confiées à un médecin cytologiste spécialisé afin de poser un diagnostic.
En fonction de l’analyse, le traitement est initié. Il s’agit le plus souvent de l’ablation chirurgicale de la glande, mais dans certains cas de ganglions ou tumeurs bénignes une simple surveillance peut être de mise.
Les tumeurs les plus fréquentes sont les adénomes pléomorphes (dans près de 50 % des cas). Il s’agit de tumeurs bénignes, mais elles ont tendance à augmenter de volume, à récidiver et peuvent au bout de plusieurs années se cancériser. Une chirurgie d’exérèse est donc nécessaire. Il faudra alors réaliser une parotidectomie ou une submandibulectomie (ablation de la glande) afin d’en éviter les récidives.
Les autres tumeurs les plus fréquentes sont les tumeurs de Whartin, elles peuvent être bilatérales et présenter des manifestations inflammatoires douloureuses. Elles ont tendance à augmenter de volume, il faut donc envisager sans urgence un geste d’exérèse chirurgicale de la tumeur et de la partie attenante de la glande.
Les cancers des glandes salivaires sont des tuméfactions souvent douloureuses, atteignant la peau et entrainant une paralysie faciale (diminution de la motricité de la moitié du visage). Toutefois, ces signes peuvent être absents, c’est pourquoi la cytoponction échoguidée rapide est indispensable.
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Centre chirurgical Carnot
12 Avenue Carnot
75017 PARIS
Prise de rendez-vous :
+33 1 40 55 25 56
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Clinique du Louvre
17 Rue des Prêtres Saint-Germain l’Auxerrois
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